À sa réunion du 22 au 24 mai 2023, l’IASB a provisoirement décidé de clarifier que les mesures de la performance de la direction sont des mesures qui reflètent l’avis de la direction sur la performance d’une entité dans son ensemble, afin de confirmer la proposition du paragraphe B83 de l’exposé-sondage selon lequel si une ou plusieurs des mesures de la performance de la direction sont les mêmes qu’une partie des informations présentées sur l’information sur les secteurs opérationnels conformément à IFRS 8, l’entité peut présenter l’information au sujet de ces mesures dans la même note que l’information sur les secteurs opérationnels, pourvu qu’elle inclue soit toute l’information exigée sur les mesures de la performance de la direction dans cette même note, soit une note distincte contenant toute l’information exigée sur les mesures de la performance de la direction. L’IASB a demandé aux permanents d’examiner la relation entre le paragraphe B83 et l’exigence générale de présentation de l’information dans les notes de manière organisée contenue dans le paragraphe 97 de l’exposé-sondage lors de la rédaction du projet de norme. L’IASB a discuté des autres questions en suspens liées aux mesures de la performance de la direction à l’égard desquelles les permanents ont conclu que les travaux réalisés étaient suffisants. Il s’est également penché sur la modification corrélative du paragraphe 23f) d’IFRS 8 qui fait référence à une disposition d’IAS 1, Présentation des états financiers de présenter de l’information sur la nature et le montant des éléments de produits ou de charges séparément lorsqu’ils sont significatifs.

Consulter le compte rendu des délibérations sur le site de l’IASB.

À sa réunion du 22 au 24 mai 2023, l’IASB a discuté des modifications proposées à IAS 36, Dépréciation d’actifs relativement au test de dépréciation des unités génératrices de trésorerie avec goodwill (test de dépréciation). L’IASB a provisoirement décidé de conserver l’obligation d’effectuer un test dépréciation quantitatif sur une base annuelle et de ne pas chercher de solutions de rechange suggérées par les répondants à son document de travail sur les regroupements d’entreprises : informations à fournir, goodwill et dépréciation. L’IASB a provisoirement décidé qu’il n’était pas faisable de concevoir un test de dépréciation différent qui serait, moyennant un coût raisonnable, considérablement plus efficace que celui exigé à l’heure actuelle par IAS 36. Il s’est aussi penché sur les suggestions, visant à améliorer l’efficacité du test de dépréciation, soumises par les répondants à son document de travail, les critères dont il faut tenir compte au moment d’examiner ces suggestions et la rétroaction des groupes consultatifs de l’IASB ainsi que de l’IFRS Interpretations Committee à ce même sujet. L’IASB n’a pas eu à prendre de décision.

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