M^me Ko a d’abord souligné le travail fait par la Commission européenne, le CFA Institute, cinq organismes de normalisation des facteurs ESG, le Forum économique mondial et les administrateurs de l’IFRS Foundation pour établir un ensemble commun de normes de présentation de l’information non financière. M^me Ko a ensuite abordé le nouvel organisme responsable de l’établissement des normes mondiales en matière de développement durable et le rôle important qu’il jouera dans l’élaboration de ces normes. Elle a de plus mentionné comment l’IFRS Foundation peut contribuer à établir des synergies efficaces avec les normes actuelles de présentation de l’information financière. Selon elle :

Les administrateurs de la Foundation sont au fait de l’énormité de la tâche d’élaboration d’un ensemble mondial de normes en matière de développement durable. Il est évident pour eux qu’il faut bâtir sur les initiatives régionales et en collaboration avec celles-ci pour obtenir une uniformité à l’échelle mondiale, réduire la complexité et, espérons-le, les coûts. [...] Le nouvel organisme responsable de l’établissement des normes mondiales en matière de développement durable doit mettre en place une structure et une culture qui cherchent activement à créer des synergies avec les normes actuelles de présentation de l’information financière. L’IFRS Foundation devrait ainsi avoir un avantage supplémentaire lui permettant de jouer un rôle clé dans le domaine de la présentation d’informations sur le développement durable. Il serait mal avisé de promouvoir une forme de présentation de l’information au détriment d’une autre. [...] Selon cette approche, tout le monde profiterait d’informations pratiques et comparables à l’échelle mondiale et des données qui en résulteraient.

Consulter l’article dans son intégralité sur le site web de l’IASB (en anglais).