Consulter le communiqué sur le site web du BSIF.

Chaque année, nous dépendons des technologies pour nous aider à conserver et à gérer divers types de données à différentes fins. Mais avec cela vient la responsabilité de gérer ces technologies de façon adéquate et en conformité aux pratiques exemplaires en matière de gouvernance informatique, qui constitue un enjeu relativement nouveau pour les conseils d’administration. C’est à ces derniers que revient la responsabilité de superviser la gestion des processus électroniques. Il ne s’agit pas là d’une mince tâche compte tenu du nombre élevé de personnes et d’employés qui doivent accéder aux données des entreprises sur une base régulière.

Consulter la liste de contrôle sur le site web de Board Effect (en anglais).

Use data to accelerate your business strategy

À l’heure actuelle, les entreprises sont toutes « riches en données ». En effet, le volume de données à leur disposition est exponentiel. Néanmoins, elles continuent de ne pas disposer de suffisamment « d’information », même si leurs leaders ont mis en place un vaste éventail de programmes destinés à tirer parti de ces données. En effet, la plupart des dirigeants ont du mal à intégrer ces données à leur stratégie d’affaires et, inversement, à harmoniser les efforts déployés en ce sens avec les besoins de leur entreprise. Plusieurs raisons expliquent cette situation, que ce soit le manque de talents, des attentes démesurées ou la culture d’entreprise qui prévaut au sein des sociétés. Il est donc essentiel de trouver des solutions afin que les organisations puissent réellement tirer profit de leurs données.

How CEOs can lead a data-driven culture?

À l’échelle planétaire, les entreprises tentent de mettre à profit les données, l’analytique et l’intelligence artificielle, mais elles se heurtent toutes contre le même mur : un manque de culture fondée sur les données qui permettrait de réellement les mettre à profit au côté de l’analytique et une capacité de prise de décision supérieure qu’une telle culture rendrait possible. Il est toutefois possible de promouvoir une culture fondée sur les données et de profiter des avantages concurrentiels qui en découlent.

Stepping into a leadership role? Be ready to tell your story

Assumer un rôle de leader, que vous soyez un dirigeant chevronné ou un novice faisant ses premières armes, est un défi de taille et une aventure excitante. La manière dont vous entreprendrez cette transition aura une incidence énorme sur votre carrière. Vous devez être prêts à plonger afin de forger des liens non seulement avec vos supérieurs et les principales parties prenantes, mais avec ceux que vous dirigerez. Les recherches démontrent que se doter d’un plan de 90 jours assorti d’étapes à franchir après 30 et 60 jours augmentera vos chances de réussir. Bien que ce type d’outil peut être précieux, ceux qui relèvent de vous seront les premiers à vous évaluer, vous et vos contributions, bien avant que vous atteignez vos propres objectifs. Ses premières impressions vous colleront à la peau. Il est donc essentiel de se munir d’un plan pour votre toute première journée afin de partir du bon pied en tant que nouveau leader.

Ce rapport porte sur le nouveau cadre de divulgation des questions environnementales, sociétales et de gouvernance (ESG) élaboré par les quatre grands cabinets comptables. Ce cadre inclut un ensemble de mesures et d’informations environnementales, sociétales et de gouvernance (ESG) universelles qui visent à donner lieu à un système exhaustif de rapports d’entreprises acceptés au niveau mondial. Ce cadre est divisé en quatre piliers (principes de gouvernance, planète, personnes et prospérité), sur lesquels sont fondées les normes de divulgation des questions ESG.

Consulter le communiqué et le rapport (le rapport est en anglais seulement) sur le site web du Forum.

Consulter aussi le rapport de Deloitte intitulé Purpose-driven Business Reporting in Focus — Progress towards a comprehensive corporate reporting system.

Avec la résilience opérationnelle, qui est testée plus que jamais auparavant en raison de la COVID-19, le rapport réitère l’engagement de l’IIRC à appuyer les entreprises qui utilisent la pensée et le rapport intégrés pour naviguer en ces temps incertains, qui met en avant l’importance de penser en termes de multi-capitaux et, en particulier, de prendre en considération le capital humain et le capital produits.

Au cours de l’année 2019, l’IIRC a observé une croissance continue de l’adoption du rapport intégré et du concept de pensée intégrée qu’il a continué de développer grâce au travail de son groupe sur la stratégie et la pensée intégrée.

Lire le rapport complet sur le site web de l’IIRC (en anglais).

Le rapport comprend les chapitres suivants :

• Chapitre 1 : Résumé
• Chapitre 2 : Marchés de crédit à risque : relier les points 
• Chapitre 3 : Pays émergents et pré-émergents : gérer la volatilité des flux d’investissements de portefeuille 
• Chapitre 4 : Secteur bancaire : faibles taux, faibles bénéfices?
• Chapitre 5 : Risques physiques et cours des actions

Lire le rapport complet sur le site web du FMI.

M. Dancey, qui est à la tête de l’organisation depuis 2019, a fourni des indications critiques sur différents enjeux ainsi que sur les initiatives du Monitoring Group, du Public Interest Oversight Board, du Global Public Policy Committee et des conseils de normalisation indépendants, tout en gérant les enjeux externes découlant de la pandémie de COVID-19.

L’arrivée de M. Dancey a marqué pour l’IFAC un renouveau sur le plan de la défense et de la consultation des parties prenantes mondiales ainsi que de l’engagement envers elles. De son appel à l’action pour la mise sur pied d’un conseil international de normalisation en matière de développement durable en passant par les relations avec l’OCDE, le G20 et d’autres parties prenantes, M. Dancey a fait entrer l’IFAC dans une nouvelle ère positive.

Consulter le communiqué sur le site web de l’IFAC (en anglais).

L’inégalité des chances, l’inégalité entre les générations, l’inégalité entre les femmes et les hommes et, bien sûr, l’inégalité de revenus et de richesse. Elles existent dans toutes nos sociétés et, malheureusement, progressent dans de nombreux pays. La bonne nouvelle est que nous disposons de moyens pour y remédier à condition d’avoir la volonté de le faire. Bien qu’il soit politiquement difficile de faire des réformes, leur incidence positive sur la croissance et la productivité en vaut la peine.

Consulter l’article dans son intégralité sur le site IMFBlog.