Parmi les éléments susceptibles de donner du fil à retordre aux sociétés, l’article mentionne l’identification des opérations génératrices de produits qui comportent une contrepartie variable, tels que des remboursements, des primes de performance, des rabais et des remises. Les comptables de ces sociétés devront donc déterminer comment présenter l’information sur les contreparties variables qui existent au jour un du contrat. Sauf dans quelques circonstances très précises, les sociétés n’ont jamais eu à composer avec le concept de contrepartie variable.
La « composante financement importante » est un autre exemple de défi qui attend les préparateurs. En effet, ceux-ci devront déterminer s’ils doivent reconnaître ou non l’existence d’une « composante financement importante » dans leurs contrats de vente. S’ils la reconnaissent, ils doivent ensuite déterminer l’ampleur de la composante reconnue. Dans ce cas, le client doit verser une somme considérable avant l’exécution du contrat par le fournisseur.
Pour en savoir plus, lire l’article sur le site web de CFO.com (en anglais).