L’outil renferme des questions que pourraient poser les comités sur trois aspects précis :

• la qualité des services et le caractère suffisant des ressources fournies par l’auditeur;
• la qualité de la communication et de l’interaction avec l’auditeur; et
• l’indépendance, l’objectivité et l’esprit critique de l’auditeur.

Consulter le communiqué de presse et l’outil sur le site web du CAQ (en anglais).

Le plan d’activités 2017-2018 du CNAC se fonde sur la mission, la vision et les objectifs stratégiques énoncés dans le plan stratégique 2016-2021. Les principales hypothèses posées pour l’élaboration du plan d’activités sont présentées à l’annexe 1.

Les résultats obtenus par rapport à l’atteinte des objectifs énoncés dans le plan d’activités 2016-2017 sont exposés dans le rapport annuel 2016-2017.

Consulter le Plan d’activités sur le site Web du CNAC.

Chaque forum comportait une table ronde sur des questions figurant à l’avant-plan des priorités des comités d’audit des sociétés canadiennes du secteur.

Consulter les points saillants :

• Secteur pétrogazier
• Secteur immobilier
• Secteur minier

Le projet de norme Statement on Standards for Attestation Engagements intitulée Selected Procedures permettrait aux professionnels de mettre en œuvre des procédures et d’en rendre compte, sous forme de procédures et de constatations, au-delà de ce que prévoit la norme actuelle, l’AT-C Section 215, Agreed-Upon Procedures Engagements.

Dans le cadre de la mission de procédures sélectionnées proposée, le professionnel pourrait déterminer les procédures à mettre en œuvre, et personne n’assumerait la responsabilité de leur caractère suffisant.

Cela permettrait au professionnel de réaliser une mission, lorsque les parties en question ne peuvent ou ne veulent pas déterminer et concevoir les procédures, sans avoir à réaliser une mission de services de consultation distincte.

Consulter un article à ce sujet sur le site web du Journal of Accountancy et l’exposé-sondage du site web de l’AICPA (en anglais).

Le projet de modèle de rapport de l’auditeur révisé ressemblerait au nouveau modèle de l’IAASB. L’objectif de l’ASB est d’accroître la valeur informative du rapport en y incluant davantage d’informations sur l’audit. L’ASB est d’ailleurs d’avis que ce nouveau modèle améliorera la pertinence du rapport de l’auditeur.

Le projet de modèle de l’ASB n’obligerait pas les auditeurs d’entités qui ne sont pas des émetteurs à communiquer les questions clés de l’audit dans le rapport de l’auditeur, mais permettrait aux auditeurs de réaliser un tel mandat. L’auditeur serait alors tenu de communiquer les questions clés de l’audit uniquement si l’entité et lui s’entendent dans la lettre de mission sur la communication des questions clés de l’audit.

Consulter l’article sur le site web du Journal of Accountancy et les documents d’accompagnement de la réunion de juillet 2017 de l’ASB de l’AICPA sur le site web de l’AICPA (en anglais).

Le rapport intermédiaire résume ce que le CCRC a appris à ce jour. Ses observations le portent à croire que l’utilisation des IQA pourrait grandement favoriser la qualité de l’audit. Il encourage donc les comités d’audit, la direction et les cabinets d’audit à poursuivre leur exploration des modalités d’intégration des IQA à leur processus d’audit.

Consulter le rapport intermédiaire sur le site Web du CCRC.

Les objectifs du projets comprennent :

Évaluation complète de l’auditeur

• Mieux comprendre les défis associés à l’évaluation de l’auditeur
• Relever les meilleures pratiques d’évaluation complète de l’auditeur afin de les communiquer par la suite aux cabinets d’audit, aux comités d’audit et aux préparateurs de l’information financière
• Recueillir des commentaires à l’égard des outils et indications utilisés actuellement aux fins de l’évaluation complète de l’auditeur 

Communications avec le comité d’audit

• Faire le point sur la qualité et l’efficacité des communications entre les auditeurs externes et les comités d’audit, grâce à des échanges avec diverses parties prenantes et à l’analyse d’études de cas
• Relever les meilleures pratiques susceptibles d’être largement diffusées auprès des cabinets d’audit, des comités d’audit et des préparateurs de l’information financière

Consulter l’annonce sur le site web du CCRC.

Voici les principaux aspects considérés par les inspecteurs en 2017 :

• Les aspects de l’audit qui, selon les inspecteurs, présentaient des lacunes dans le passé, comme l’évaluation des risques d’anomalies significatives et la réponses à ces risques.
• Les aspects de l’audit touchés par de récents développements économiques, notamment un niveau élevé d’activités liées aux fusions et aux acquisitions et d’importantes fluctuations au niveau des prix du pétrole et du gaz naturel.
• Les aspects de la présentation de l’information financière qui exigent l’exercice d’un jugement important, y compris les considérations liées à la continuité de l’exploitation et les informations à fournir sur l’impôt sur le résultat.
• La conformité d’un cabinet d’audit aux nouvelles règles sur la transparence (Form AP).
• La préparation à l’adoption des nouvelles normes sur la comptabilisation des produits et des contrats de location.
• Les travaux effectués par d’autres auditeurs dans le cadre d’audits multinationaux.
• L’utilisation par l’auditeur de la technologie de l’information, particulièrement des logiciels d’audit.
• Le système de contrôle de la qualité du cabinet d’audit

En 2017, le PCAOB a prévu inspecter environ 195 cabinets inscrits qui réalisent des audits pour les sociétés ouvertes, dont 11 qui font l’objet d’inspections annuelles. Parmi les 195 cabinets inspectés en 2017, environ 55 ne sont pas des cabinets américains et se situent dans 26 territoires étrangers.

Consulter le communiqué de presse et le communiqué des permanents sur le site du PCAOB (en anglais).

Le communiqué présente certaines des observations découlant des inspections de 2016, notamment trois aspects de l’audit où des déficiences ont été le plus souvent relevées :

• Évaluation des risques d’anomalies significatives et la réponse à ces risques;
• Audit du contrôle interne à l’égard de l’information financière;
• Audit des estimations comptables, y compris les estimations comptables en juste valeur.

Le communiqué présente également d’autres aspects de l’audit qui présentent des déficiences continues, y compris les aspects touchés par certains risques économiques, l’audit de certains éléments d’information financière, l’audit de travaux d’audit concernant des multinationales et certains aspects du système de contrôle qualité d’un cabinet membre.

Lire le communiqué de presse et le communiqué de ses permanents sur le site web du PCAOB (en anglais).

Le communiqué mentionne que les inspecteurs du PCAOB ont de nouveau constaté des situations qui portent atteinte à l’indépendance des auditeurs, notamment la participation de certains à la préparation des états financiers ou des documents comptables de leurs clients d’audit.

Les inspecteurs ont également relevé des déficiences, semblables à celles constatées aux cycles d’inspection précédents, dans plusieurs secteurs des audits, tels que la comptabilisation des produits, la présentation des états financiers et les informations à fournir, ainsi que l’évaluation des risques d’anomalies significatives résultant de fraudes. Ils ont fait remarquer, enfin, que certains auditeurs n’avaient pas fait une évaluation suffisante des relations et des opérations entre leurs clients d’audit et des parties liées.

Lire le communiqué du PCAOB et le communiqué de ses permanents au sujet des inspections dans le site web du PCAOB (en anglais).