• Différences régionales : La région des Amériques est à la traîne de l’EMOA et de l’Asie-Pacifique en ce qui concerne l’intégration des facteurs ESG dans le processus d’investissement. Quarante-trois pour cent des répondants de l’EMOA ont reçu une formation spécialisée, par rapport à 30 % de ceux de l'Asie-Pacifique et à 28 % de ceux des Amériques.
  • Demandes des clients : Soixante-six pour cent des répondants au sondage ont indiqué qu’ils prendraient en considération les facteurs ESG dans leurs analyses et leurs décisions si les investisseurs le demandaient, et ce, de façon à peu près égale dans toutes les régions (67 % : Amériques, 65 % : Asie-Pacifique, 61 % : EMOA).
  • Différences entre les sexes : Quarante-six pour cent des hommes, par rapport à 18 % des femmes, ont indiqué que les facteurs ESG sont négligeables ou n’ajoutent aucune valeur; 62 % des femmes et 49 % des hommes tiennent toujours compte des facteurs ESG dans leurs analyses des investissements.
  • Différences entre les générations : Les plus jeunes ont davantage tendance à tenir compte des facteurs ESG (génération Y : 78 %, génération X : 74 %, baby-boomers : 68 %).
  • Évaluation des risques : Soixante-cinq pour cent des répondants au sondage ont indiqué considérer les facteurs ESG dans leur processus décisionnel en matière de placements dans le but de gérer les risques qui y sont associés; 45 % ont indiqué que leurs clients/investisseurs le demandent et 41 % ont dit que la performance sur le plan des facteurs ESG est un indicateur de la qualité de la gestion.
  • Trois principaux facteurs du processus décisionnel : Les répondants au sondage ont nommé la reddition de comptes du conseil, le capital humain et la dégradation de l’environnement comme les facteurs les plus importants à leur analyses et à leur prise de décisions en matière de placements.

Consulter le communiqué de presse et le rapport sur le site web du CFA Institute (en anglais).